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10 raisons qui poussent les meilleurs collaborateurs à démissionner

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Infographie sur les facteurs de démission

Jobijoba

Surcharge de travail ou sous-charge de travail, mauvaises relations dans l'équipe, zoom sur les principales raisons qui poussent à démissionner.
La perte de compétences et de savoir-faire, la recherche de nouveaux collaborateurs et leur intégration ont un coût important pour une entreprise. Quand on sait qu'un salarié "heureux" est 6 fois moins absent, 31% plus productif et 55% plus créatif, ça laisse à réfléchir ! 


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le 16/05/2017

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16 commentaires

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Moi je n'ai jamais eu autant de haine pour mon emploi que j'ai été pourtant si fière. C'est honteux de maltraiter, de rabaisser d'infliger autant de méchanceté au bout de toutes ces années. Après, certes certains managements ne nous ménagent point. Cela dit avec dignité et reconnaissance, on dit au revoir.

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Une mauvaise ambiance, un patron pas du tout à l'écoute de ses salariés qui ne fait pas confiance et surveille chaque mail, la notion en effet de polyvalence qui masque juste le fait de devoir toucher à tout, un manque de reconnaissance et même plutôt des reproches, infondées la plupart du temps, des "clash" à répétition avec les salariés, des éclats de voix... Bref il y a toujours des solutions uniquement si les deux parties acceptent de communiquer et de s'écouter malheureusement certain patrons n'ont aucune notion de management et de communication tout court...

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Pour ma part il a était souvent le cas de sous charge de travail surtout dans les usines de montage, les cadre décide de déménager le magasin, d'embaucher beaucoup d’intérim et accélérais le sorti de machine sans passer par l'embauche des préparateur de pièces pour que nous aillons de quoi travailler et monter leur machine. souvent je devais piquer des pièces sur d'autres machine (client) et noter pour réimplanter quand les nouvelles pièces arriver, tout cela en travaillant avec des OMP (odre de mise en production). donc forcement sur 50 machine par mois il y avais trop de changement et c'est obliger que des erreur ce produise arriver un certain nombre. En plus de sa il discute de vos compétence alors que vous accéléré quand même la production pendant que les anciens employer (pour certain) attendre que le temps passe. si bien que souvent je devais aller leur prêter main forte pour pas que leur production sois caduc. Le pire c'est qu'il viennent vous demander si vous avez des amis qui sont comme vous, rapide et bon dans la technique mais discute sans arrêt de vos compétence. En plus de traiter a chaque réunion que tel ou tel machine n'est pas faite....

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Le mauvais salaire ajouté a une équipe de travail pourrie dans une entreprise pourrie aussi pousse a aller voir l herbe plus saine ailleurs.

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au nom de la sacro-sainte "polyvalence" (une manière déguisée d'exiger de nous de faire tout à la fois), je suis graduellement passé d'un emploi de simple dessinateur à celui de bonne à tout faire : épluchage et dispatchage de centaines d'e-mails, réception de dizaines de coups de fils souvent furieux, feuille de route et établissement d'un planning perso irréalisable,etc etc.) Management et audits trés trés directifs destinés sans doute à pousser les gens à bout puisque chaque réunion ne sert qu'à pointer les aspects négatifs, forcément, de notre travail qui n'est ni fait, ni à faire. Vite fait, bien fait? Une belle escroquerie qui aboutit à diverses pathologies telles que burn out, AVC, migraines, tout le monde était malade autour de moi, y compris les jeunes gens. Et que l'on ne vienne pas me dire que ce sur-régime est l'apanage des grands groupes puisque mon bureau d'études, d'un effectif inférieur à 10 personnes, a découvert les joies du flux tendu voici 10 ans. Un chiffre d'affaires de 1 millions, une marge de 250.000€. Aucun intéressement, aucune prime, juste un couple de gérants juste bon à chialer que nous en sommes pas assez rentables. La voila la PME du 21 eme siècle.

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philkay - le 15/04/2018

En effet tout ce que vous avez précisé ,est juste .quant aux managers il ne se remettent jamais en question . Et surtout certains de leur incompétence !!!!@. Je l ai vécu . Merci les grands groupes...

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C'est bien mignon, votre article. Mais la vérité, c'est que la majorité des supérieurs hiérarchiques ne remet absolument pas ses méthodes de travail en question : "au suivant" est devenu la norme. Et ça ne va certainement pas s'arranger avec l'élection de Macron…

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Lou - le 05/05/2017

Si cela va s'arranger avec Macron car il donne le chômage après une démission, donc l'employé reprendra son libre arbitre

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Le manque total de confiance d'un patron qui vérifiait absolument tous les mails entrée et sortis de la boite mail de tous les employés tellement il avait peur de ne pas être au courant de tout.

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Cela fait 6 ans que je suis dans la société. Depuis 2 mois, mon patron me retire des tâches pour alléger ma masse de travail. Jusque là pas de soucis à un détail prêt. Je lui dit que je ne souhaite plus faire certaines tâches car cela fait 10 que je l'ai fait et que je veux passer à autre chose. Du coup, il me supprime toute la partie sur laquelle je voulais basculer à temps complet. Si ce n'est pas un signe qu'il faut que je parte je ne sais pas ce que c'est.

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Le plus souvent c'est le surcharge de besogne qui fait que l'on puisse quitter et pousse à la démission, quand on sait qu'on travaille à temps partiel.

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Après plus de 30 ans de service, je suis partie sans discours et petits fours. Pendant toutes ces années je ne me suis presque jamais absentée. Les 7 dernières années ont été les pires : manque de reconnaissance verbale et matérielle, chef de service qui fonctionnait comme un chef de clan avec des préférences au sein de l'équipe et j'en passe ... Bref, au fil des années j'ai complétement douté de moi et de mes compétences. Il était temps, pour moi, de partir.

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Par crainte de perdre son travail, ont s'investit quitte à avoir 3 postes en 1. Et dès qu'on a des enfants et qu'on ne peut plus donner de notre temps. C'est là que le harcèlement morale commence.

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Equipe ancienne et ancrée dans des habitudes avec un management maternel qui a satisfait tout le monde depuis plus de 10 ans. Sauf que du jour au lendemain on vous attend au virage en vous disant que vous n'êtes plus aux attendus du poste que vous occupez depuis plus de 10 ans. Aucun avertissement rien ne laissait présager une rupture aussi brutale. Un burnout s invite à la fête et c'est le feu d artifice !!! Tout ça pour vous dire que les managers sont les premiers sur la longue liste que la rh a décidé de mettre dehors. En plus si vous avez plus de 45 ans c'est mort. Bonne journée à tous

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Lou - le 04/05/2017

Entièrement ! D accord avec vous. Manager (35personnes) depuis 25 ans de très bon et loyaux services on vous met un nouveau responsable du jour au lendemain sans compétence dans l activité et ne fait que vous mettre des bâtons dans les roues jusqu a ce qu on craque et décide de démissionner parce que pas soutenu par la direction qui se voile la face. C est l écœurement total.

caroline - le 04/05/2017

Je vous Conprends je suis passé par là il y a 5 ans

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La trahison face à des promesses verbales non tenues

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Merci pour vos commentaires ! La liste n'est pas exhaustive, n'hésitez pas à la compléter

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Manque de reconnaissance Pas de choix pour prendre ses vacances meme si enfants Pas de pauses par surcharge de travail Salaire qui stagne et charges et missions de travail qui augmentent Une groupe d actionnaire qui se moque de l humain

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ottokarrr - le 04/05/2017

travailler pour gagner de l argent c est impossible , je suis au RSA depuis 2008, ni patron ni salarié. seulement du bricolage à droite à gauche de temps en temps .j ai 56 ans.je dois être trop idiot.c est peut être la chance de ma vie...

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Perte du respect envers la hierachie directe Remise en question incessante par manque de reconnaissance Charge de travail trop importante Manque d'implications des proches collègues

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Nicole - le 14/03/2017

Je me retrouve tout à fait dans votre commentaire ! Manque de respect DE la hiérarchie (élus bénévoles). Charge de travail très importante en raison du départ du directeur, remplacé 1 mois après par quelqu'un que j'ai dû aider et mettre mon travail à côté et faire celui d'une collègue en congé maternité, pendant que l'autre se tournait les pouces. Quand je suis partie, j'avais deux mois de retard dans mon travail mais ça ne m'importait plus tellement j'étais mal ! Aucune reconnaissance après 30 ans dans la même société, ça dégoûte totalement !

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