L’ingénieur·e de recherche participera aux travaux scientifiques du réseau Becquerel de l’IN2P3 (CNRS), consacré à la métrologie nucléaire et à la surveillance de l’environnement. Il/elle contribuera au pilotage, à la mise en œuvre et à la valorisation scientifique des actions collectives du réseau, en lien avec les laboratoires partenaires.
Activités
• Participer à la conception, la coordination et le suivi des programmes du réseau Becquerel.
• Développer et mettre en œuvre des méthodes de métrologie nucléaire, incluant : la chimie séparative pour l’isolement des radionucléides d’intérêt, les techniques de des émissions alpha, bêta, gamma et X.
• Contribuer aux dispositifs de surveillance environnementale (air, eau, sols, biotes) associés aux observatoires (Zone Atelier Territoires Uranifères) et aux différents projets (milieu aquatique, terrestre et marin) : organisation et suivi des campagnes de prélèvements, traitement conservation et mesure des échantillons.
• Assurer la synthèse et l’analyse des données issues des mesures et prélèvements, en lien avec les partenaires scientifiques et institutionnels.
• Développer des outils et protocoles garantissant la traçabilité, la fiabilité et l’intercomparabilité des résultats au sein du réseau.
• Participer à la rédaction des rapports scientifiques, publications et synthèses destinés aux tutelles, partenaires et instances de pilotage.
• Contribuer à la veille scientifique et technologique dans le domaine de la métrologie nucléaire et de la surveillance de l’environnement.
• Participer à l’animation scientifique du réseau : organisation de réunions, ateliers techniques, intercomparaisons et formations.
Compétences
• Solides connaissances en radiochimie, métrologie nucléaire et techniques de mesure des rayonnement alpha, bêta, gamma.
• Maîtrise des méthodes de prélèvements et d’analyses environnementales.
• Capacités en traitement, synthèse et interprétation de données scientifiques.
• Connaissance du fonctionnement des réseaux scientifiques et collaboratifs.
• Maîtrise des outils informatiques.
• Capacités de communication scientifique écrite et orale (rapports, articles, présentations), maitrise de l’anglais.
• Aptitude au travail en équipe et en réseau, avec sens de l’organisation et autonomie.
Contexte de travail
Le réseau Becquerel regroupe les laboratoires de l’IN2P3 impliqués dans les activités de mesure, radiochimie et surveillance environnementale. Il contribue à la mise en place de protocoles communs, à l’intercomparaison des pratiques et au transfert de compétences. Le réseau est impliqué dans les projets de recherche portés par les différents laboratoires de l’Institut relatifs à la radioactivité de l’environnement. L’ingénieur·e de recherche évoluera dans un environnement scientifique stimulant, à l’interface entre recherche fondamentale, métrologie et enjeux sociétaux de compréhension des environnements radioactifs. Il sera intégré à l'équipe environnement du LPCA (12 personnes) qui dispose d'une plateforme de métrologie nucléaire et assure l'animation de la Zone Atelier Territoires Uranifères. Cette équipe est impliquée dans de nombreux projets liés à la présence de radioactivité naturelle ou artificielles (source hydrothermale et minérale, volcanismes, radioactivité naturelle ou naturelle renforcée importante, océan, évaluation des processus adaptatifs et évolutifs du vivant liés à la radioactivité, simulation pour la microdosimétrie,...).
Par ailleurs, en intégrant le CNRS, nous vous proposons :
• Un environnement de travail stimulant aux contacts des personnels de la recherche
• 44 jours de congés / RTT par an
• D'excellentes conditions de travail (horaires flexibles, télétravail)
• Un restaurant d'entreprise qui permet de déjeuner à un prix intéressant
• Le remboursement partiel des titres de transport (75%) + forfait mobilité durable pouvant aller jusqu'à 300€/an
• Un site accessible en transport en commun + parking privé
• Participation financière au frais de mutuelle
Le réseau Becquerel regroupe les laboratoires de l’IN2P3 impliqués dans les activités de mesure, radiochimie et surveillance environnementale. Il contribue à la mise en place de protocoles communs, à l’intercomparaison des pratiques et au transfert de compétences. Le réseau est impliqué dans les projets de recherche portés par les différents laboratoires de l’Institut relatifs à la radioactivité de l’environnement. L’ingénieur·e de recherche évoluera dans un environnement scientifique stimulant, à l’interface entre recherche fondamentale, métrologie et enjeux sociétaux de compréhension des environnements radioactifs. Il sera intégré à l'équipe environnement du LPCA (12 personnes) qui dispose d'une plateforme de métrologie nucléaire et assure l'animation de la Zone Atelier Territoires Uranifères. Cette équipe est impliquée dans de nombreux projets liés à la présence de radioactivité naturelle ou artificielles (source hydrothermale et minérale, volcanismes, radioactivité naturelle ou naturelle renforcée importante, océan, évaluation des processus adaptatifs et évolutifs du vivant liés à la radioactivité, simulation pour la microdosimétrie,...).
Par ailleurs, en intégrant le CNRS, nous vous proposons :
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• 44 jours de congés / RTT par an
• D'excellentes conditions de travail (horaires flexibles, télétravail)
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