Le/la postdoctorant·e contribuera à un projet financé par l’ANR visant à explorer les mécanismes de communication mécanique entre cellules immunitaires. L’objectif principal est d’étudier les processus physiques par lesquels les lymphocytes B, en tant que cellules présentatrices d’antigènes, interagissent mécaniquement avec les lymphocytes T au niveau de la synapse immunologique, en s’appuyant sur des approches de microscopie avancée et de microfabrication, ainsi que sur des concepts issus de la physique statistique et de la matière molle.
Activités
• Étudier les interactions mécaniques entre lymphocytes B et T lors de la synapse immunologique.
• Analyser la structure et la dynamique de la synapse immunitaire sur des substrats de propriétés mécaniques et chimiques différentes, en géométries 2D (TIRF) et 3D (confocale).
• Perturber la formation de la synapse par flux hydrodynamique dans une puce microfluidique, siRNA ou traitements médicamenteux.
• Mesurer les propriétés mécaniques des cellules par cytométrie de déformabilité, micro-indentation et microrhéologie.
• Adapter et ameilorer les techniques de microfabrication utilisées dans l’équipe (pièges microfluidiques, substrats mous, surfaces structurées).
• Techniques principales : culture et purification cellulaire, microfluidique, microscopie de fluorescence (TIRF, IRM, spinning disk, super-résolution STORM/STED, biosenseurs, FRET), cytométrie en flux.
Compétences
• Formation : doctorat en biophysique, biologie cellulaire, immunologie ou discipline connexe
• Expertise technique : excellente maîtrise de la microscopie optique et de l’analyse quantitative d’images
• Compétences en ingénierie : connaissances en microfabrication, microfluidique et en mécanobiologie
• Aptitudes transversales : capacité à travailler en équipe multidisciplinaire, à communiquer efficacement, à faire preuve d’autonomie et de curiosité scientifique
• Langues : très bon niveau d’anglais (le français est un atout, mais non indispensable)
Contexte de travail
Le/la postdoctorant(e) rejoindra l’équipe DyCRIC (Dynamiques des réponses immunitaires dépendantes du cytosquelette) de l’Institut Cochin, un centre de recherche biomédicale situé au cœur de Paris, placé sous la tutelle de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Paris Cité.
L’équipe est co-dirigée par P. Pierobon et J. Delon, et comprend actuellement 3 chercheurs permanents, 2 technicien·nes, 3 doctorant·es, 1 postdoctorant·e et plusieurs stagiaires.
Notre recherche se situe à l’interface de l’immunologie, de la biologie cellulaire et de la biophysique, appliquée à des problématiques fondamentales et aux maladies inflammatoires.
Site de l’équipe : https://institutcochin.fr/en/equipes/dynamics-cytoskeleton-dependent-responses-immune-cells
Ce projet s’inscrit dans le consortium ANR collaboratif CriticaliTy, incluant des laboratoires à Marseille, Palaiseau et Metz — des déplacements dans ces laboratoires sont à prévoir.
Le/la postdoctorant(e) rejoindra l’équipe DyCRIC (Dynamiques des réponses immunitaires dépendantes du cytosquelette) de l’Institut Cochin, un centre de recherche biomédicale situé au cœur de Paris, placé sous la tutelle de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Paris Cité.
L’équipe est co-dirigée par P. Pierobon et J. Delon, et comprend actuellement 3 chercheurs permanents, 2 technicien·nes, 3 doctorant·es, 1 postdoctorant·e et plusieurs stagiaires.
Notre recherche se situe à l’interface de l’immunologie, de la biologie cellulaire et de la biophysique, appliquée à des problématiques fondamentales et aux maladies inflammatoires.
Site de l’équipe : https://institutcochin.fr/en/equipes/dynamics-cytoskeleton-dependent-responses-immune-cells
Ce projet s’inscrit dans le consortium ANR collaboratif CriticaliTy, incluant des laboratoires à Marseille, Palaiseau et Metz — des déplacements dans ces laboratoires sont à prévoir.
Contraintes et risques
Travail en laboratoire de niveau L2 (BSL2) requis pour l’utilisation de cellules primaires humaines et l’accès à des microscopes spécifiques situés dans la zone L2 du laboratoire. Un travail avec des souris disséquées pourra également être nécessaire. Des déplacements et des séjours de courte durée dans les laboratoires des collaborateurs du consortium peuvent être requis.
Travail en laboratoire de niveau L2 (BSL2) requis pour l’utilisation de cellules primaires humaines et l’accès à des microscopes spécifiques situés dans la zone L2 du laboratoire. Un travail avec des souris disséquées pourra également être nécessaire. Des déplacements et des séjours de courte durée dans les laboratoires des collaborateurs du consortium peuvent être requis.
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