Ingénieur d'étude terrain, laboratoire, gestion de données (h/f)

Ingénieur d'étude terrain, laboratoire, gestion de données (H/F), Villiers-en-Bois

Villiers-en-Bois, France

Informations générales

Intitulé de l'offre : Ingénieur d'étude terrain, laboratoire, gestion de données (H/F)

Référence : UMR7372-TIMBON-001

Nombre de Postes : 1

Lieu de travail : Villiers-en-Bois

Date de publication : vendredi 25 avril 2025

Type de contrat : CDD

Durée du contrat : 14 mois

Date d'embauche prévue : 1 juillet 2025

Quotité de travail : Complet

Rémunération : salaire brut entre 2 466,98 € et 3 676,14 € (en fonction de l'expérience)

Niveau d'études souhaité : BAC+3/4

Expérience souhaitée : Indifférent

BAP : A - Sciences du vivant, de la terre et de l'environnement

Emploi type : Ingénieur-e biologiste en plateforme scientifique

Le projet ANR «DWELLS» vise à étudier l’impact des changements génétiques à court terme sur la démographie des oiseaux marins longévifs. L’ingénieur(e) devra produire et gérer des données génomiques, organiser et préserver les échantillons, et aider à l’analyse préliminaire des données.

Activités principales :

1. Extraction d’ADN, contrôle de qualité, préparation et envoi pour séquençage.
2. Gestion et organisation des échantillons biologiques.
3. Gestion et traitement des données.
4. Travail de terrain dans les Terres Australes et Antarctiques françaises pour la collecte d’échantillons sur des albatros.
5. Analyse préliminaire des données.

Compétences requises :

* Laboratoire : extraction d’ADN manuelle et robotisée, tests de qualité.
* Gestion de données : outils bureautiques, bases de données, connaissance en R.
* Travail de terrain : manipulation d’oiseaux, baguage, mesures biométriques, prélèvements sanguins, capacité à travailler en équipe en milieu isolé.

Contexte :

Poste basé au Centre d'Etudes Biologiques de Chizé, UMR 7372 CNRS-La Rochelle Université, spécialisé en écologie, avec des suivis à long terme sur la réponse des organismes aux perturbations environnementales.

Contraintes et risques :

Possibilité de missions prolongées en conditions extrêmes dans les Terres Australes et Antarctiques françaises, avec 3 à 4 mois sans retour possible. La mission dépend du soutien de l’institut polaire IPEV et pourrait ne pas être réalisée.

#J-18808-Ljbffr