En tant qu’ingénieur vous aurez à participer aux tests de production des circuits multi-flex et flex-rigides du futur détecteur à pixels d’ATLAS ainsi qu’au montage de ces circuits sur les modules de silicium et leur intégration sur les supports mécaniques du détecteur.
Activités
- Mise en œuvre d’appareils de mesures (alimentations, oscilloscope, analyseur),
- Tests électriques au moyen de bancs de tests automatisés,
- Compilation des résultats sur les principaux paramètres étudiés,
- Alimentation des résultats dans une base de données,
- Manipulation d’outillages de pliage des circuits flexibles,
- Gestion du stockage, emballage, expédition des circuits,
- Montage mécanique.
Compétences
Savoir-faire:
- Profil ingénieur mesures physiques, instrumentation,
- Être à l’aise avec la programmation en Python,
- Expérience en statistiques élémentaires appréciée,
- Avoir une connaissance des méthodes d'assurance qualité,
- Sensibilité aux aspects logistiques,
- Avoir la maitrise de l'anglais écrit technique,
- Expérience de travail dans un laboratoire de recherche serait souhaitable,
- La connaissance de l’environnement de la physique des particules expérimentale est un plus .
Savoir-être:
- Manipulations minutieuses exigeant calme, rigueur, ténacité et patience,
- Capacité à travailler en équipe et sens de la communication indispensable,
- Curiosité scientifique, esprit d'innovation et d'organisation,
- Autonomie.
Contexte de travail
Le LAPP est un laboratoire "CNRS Nucléaire et particules", institut du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) qui coordonne les programmes dans ces domaines. Le LAPP est une unité mixte de recherche (UMR 5814) du CNRS et de l’Université Savoie Mont-Blanc (USMB). Plus de 150 chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs, techniciens, administratifs, étudiants et visiteurs étrangers y travaillent. Les recherches menées au LAPP ont pour but l’étude de la physique des particules élémentaires et de leurs interactions fondamentales, ainsi qu’à explorer leurs liens avec les grandes structures de l’Univers. Les travaux des équipes du LAPP visent, entre autres, à comprendre l’origine de la masse des particules, à percer le mystère de la matière noire ou encore à déterminer ce qui est arrivé à l’antimatière présente dans notre univers au moment du Big-Bang.
Le groupe ATLAS du LAPP est responsable de la conception et de la production des services électriques qui permettront l’alimentation et la lecture des modules pixels du détecteur de traces ITk. Ce détecteur sera installé au cœur de l’expérience ATLAS au CERN entre 2027 et 2028 pour la phase à haute luminosité du LHC.
La phase de pré-production des livrables est en cours et le feu vert pour lancer la phase de production est prévu d’ici l’été. Le groupe doit donc se préparer au contrôle qualité de l’ensemble des 6000 éléments, réaliser l’ensemble des tests individuels avant de les expédier dans les différents sites d’intégration.
Le LAPP est un laboratoire "CNRS Nucléaire et particules", institut du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) qui coordonne les programmes dans ces domaines. Le LAPP est une unité mixte de recherche (UMR 5814) du CNRS et de l’Université Savoie Mont-Blanc (USMB). Plus de 150 chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs, techniciens, administratifs, étudiants et visiteurs étrangers y travaillent. Les recherches menées au LAPP ont pour but l’étude de la physique des particules élémentaires et de leurs interactions fondamentales, ainsi qu’à explorer leurs liens avec les grandes structures de l’Univers. Les travaux des équipes du LAPP visent, entre autres, à comprendre l’origine de la masse des particules, à percer le mystère de la matière noire ou encore à déterminer ce qui est arrivé à l’antimatière présente dans notre univers au moment du Big-Bang.
Le groupe ATLAS du LAPP est responsable de la conception et de la production des services électriques qui permettront l’alimentation et la lecture des modules pixels du détecteur de traces ITk. Ce détecteur sera installé au cœur de l’expérience ATLAS au CERN entre 2027 et 2028 pour la phase à haute luminosité du LHC.
La phase de pré-production des livrables est en cours et le feu vert pour lancer la phase de production est prévu d’ici l’été. Le groupe doit donc se préparer au contrôle qualité de l’ensemble des 6000 éléments, réaliser l’ensemble des tests individuels avant de les expédier dans les différents sites d’intégration.
Contraintes et risques
Des déplacements de courtes durées sont à prévoir en France et à l’étranger.
Des déplacements de courtes durées sont à prévoir en France et à l’étranger.
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