La personne retenue aura pour mission de développer un montage d’holographie numérique pour l'imagerie acousto-optique, en partenariat avec nos collègues au Laboratoire Charles Fabry (LCF - Institut d’Optique – Palaiseau) pour l'utiliser avec de nouvelles sources lasers puissantes QCW, dans le cadre d’une ANR commune.
Elle développera également des codes d’excitations ultrasonores structurées, tests à l'Institut Langevin, puis transfert au LCF pour les mesures AO.
Activités
- Développer un setup d'holgraphie digitale / caractérisation
- Développement de codes d'excitation ultrasonore originaux sur une baie ultrasonore programmable
- Performances ultrasonores
- Interfaçage / synchronisation des appareils de mesures pour mesures acousto-optique
- Transfert du setup au LCF
- Mesures acousto-optiques avec sources lasers QCW
Compétences
Compétences requises : Un profil à dominante expérimentale est requis.
Optique instrumentale, Caméra processing, Traitement d’images, Programmation/Développement et interfaçages avec appareils de mesures.
Contexte de travail
L’imagerie acousto-optique (AO) est entrevue pour développer un imageur bimodal pour la médecine et la biologie, avec informations locales complémentaires ultrasonore (échographie) et optique (effet acousto-optique). De multiples configurations expérimentales ont été envisagées, mais un certain nombre de verrous technologiques demeurent pour dépasser le stade la preuve de principe, le signal utile issu des photons marqués par les ultrasons (US) étant faible, sur un fort fond continu. Un point central est la source laser, qui se doit d’être monofréquence (MHz) dans la gamme 700-1100nm et puissante sur un temps bref (10 Watts et plus), compatible avec le temps de corrélation du speckle en sortie d’un échantillon in vivo (quelques 100 microsecondes). Il n’existe pas sur le marché de telles sources lasers. Une détection caméra est prometteuse (par holographie digitale), elle se doit d’être optimisée par GPU afin de traiter au mieux une énorme quantité de données. Une excitation US de type ondes planes structurées est aussi la meilleure stratégie afin de maximiser la quantité de photons marqués, tout en respectant les normes médicales.
L’imagerie acousto-optique (AO) est entrevue pour développer un imageur bimodal pour la médecine et la biologie, avec informations locales complémentaires ultrasonore (échographie) et optique (effet acousto-optique). De multiples configurations expérimentales ont été envisagées, mais un certain nombre de verrous technologiques demeurent pour dépasser le stade la preuve de principe, le signal utile issu des photons marqués par les ultrasons (US) étant faible, sur un fort fond continu. Un point central est la source laser, qui se doit d’être monofréquence (MHz) dans la gamme 700-1100nm et puissante sur un temps bref (10 Watts et plus), compatible avec le temps de corrélation du speckle en sortie d’un échantillon in vivo (quelques 100 microsecondes). Il n’existe pas sur le marché de telles sources lasers. Une détection caméra est prometteuse (par holographie digitale), elle se doit d’être optimisée par GPU afin de traiter au mieux une énorme quantité de données. Une excitation US de type ondes planes structurées est aussi la meilleure stratégie afin de maximiser la quantité de photons marqués, tout en respectant les normes médicales.
Contraintes et risques
Mesures avec des sources lasers puissantes (utilisation de lunettes de sécurité).
Mobilité nécessaire car activité répartie entre l'Institut Langevin et le Laboratoire Charles Fabry.
Mesures avec des sources lasers puissantes (utilisation de lunettes de sécurité).
Mobilité nécessaire car activité répartie entre l'Institut Langevin et le Laboratoire Charles Fabry.
En cliquant sur "JE DÉPOSE MON CV", vous acceptez nos CGU et déclarez avoir pris connaissance de la politique de protection des données du site jobijoba.com.