Ingénieur-e d'études en archéologie h/f

Activités


Compétences


Contexte de travail

L'UMR7209 BioArch "BioArchéologie, Interactions Sociétés Environnements" est rattachée au CNRS (INEE) et au Muséum national d'Histoire naturelle (département Homme et Environnement) et a pour partenaire l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP).

Elle est située 43 rue Buffon sur le site du jardin des plantes à Paris et dispose d'une antenne à Compiègne (plateau de bioarchéologie mutualisé). Structurée en 2 axes thématiques et un atelier méthodologique, son effectif est de 64 statutaires : 20 CNRS (12 CR, 1 CR émérites, 6 ITA, 1 CDD), 17 MNHN (12 EC, 2 ITA, 3 CDD), 8 INRAP et CRAVO, 4 Post-doctorants-es, 15 doctorants-es (direction ou co-direction). Ses recherches visent à reconstituer les interactions entre les sociétés humaines et les animaux et les plantes dans le passé. Le champ d'application est mondial et concerne majoritairement les périodes de -10 000 ans à l'actuel.

L'ingénieur-e d'études sera placé-e sous la responsabilité de l'ingénieure de recherche en archéozoologie en charge des plateaux techniques de l'unité. Il/Elle travaillera transversalement pour répondre aux besoins des collègues selon ces champs de compétences taxinomiques et chronologiques.

Des déplacements en France et à l'étranger sont à prévoir. Le travail physique sur le terrain et dans les collections est parfois contraignant. L'ingénieur-e d'études sera amené-e à se rendre sur les lieux de stockage à Lisses dans l'Essonne plusieurs fois par an et occasionnellement sur le plateau mutualisé à Compiègne. Certains terrains sont difficiles (haute altitude, régions arides/tropicales). Ces missions peuvent durer plusieurs semaines. Les déplacements nécessitent un permis B.

Des formations MNHN et CNRS permettront de palier l'absence de certaines compétences.
Des facteurs d'évolution à moyen terme sont identifiés comme le recours aux nouvelles technologies appliquées à l'archéozoologie et aux collaborations pluridisciplinaires.