Le post-doctorant participera au projet LUMOS (Light-induced skin extracellular matrix remodelling through ROS generation) financé par l'ANR (ANR-23-CE18-0015), dont l'objectif est de développer des approches photochimiques calibrées pour moduler la matrice extracellulaire cutanée.
Sa mission principale consistera à évaluer les effets d'une photothérapie dynamique (PDT) sublétale sur le remodelage tissulaire cutané, en particulier dans des modèles humains reconstruits de peau reproduisant des conditions de vieillissement ou de cicatrisation.
Ce travail s'inscrit dans une démarche pluridisciplinaire alliant chimie, biophysique et ingénierie tissulaire, et vise à établir un lien entre les propriétés photochimiques des photosensibilisateurs et les réponses structurales et fonctionnelles du tissu cutané.
Activités
Cultiver des cellules cutanées humaines en 2D (monocouches) et en 3D (peaux reconstruites obtenus par auto-assemblage).
Participer à la mise au point et à l'optimisation des protocoles expérimentaux.
Mettre en oeuvre des protocoles de photothérapie dynamique calibrée pour induire un remodelage tissulaire sans effet létal.
Caractériser les réponses cellulaires par des tests fonctionnels : migration, prolifération, fonctions barrières, angiogenèse.
Analyser les modifications tissulaires et matricielles par des approches histologiques, immunofluorescentes, biochimiques et moléculaires (qPCR, Western blot, ELISA, microscopie optique et électronique).
Collaborer avec les partenaires du projet pour évaluer les propriétés mécaniques et structurales du tissu après traitement.
Contribuer à la valorisation scientifique des résultats (rapports, publications, communications) et à l'encadrement ponctuel d'étudiants du laboratoire.
Compétences
Doctorat en biologie, biologie cellulaire et moléculaire, bio-ingénierie ou discipline connexe, avec une expérience en ingénierie tissulaire idéalement. Des connaissances en biologie cutanée et/ou cicatrisation sont un plus.
Expérience en culture cellulaire 2D et 3D.
Maîtrise des techniques de biologie moléculaire et biochimique : qPCR, Western blot, ELISA.
Maîtrise des techniques de biologie cellulaire et histologie : immunofluorescence, histologie, microscopie optique et fluorescence.
Capacité à analyser des données quantitatives et qualitatives (statistiques).
Intérêt prononcé pour la recherche pluridisciplinaire, avec une capacité à collaborer avec des chimistes et des physiciens.
Rigueur expérimentale, organisation, autonomie et bonnes capacités rédactionnelles pour la rédaction de rapports et publications scientifiques.
Aptitude à encadrer ponctuellement des étudiants et à travailler dans un environnement collaboratif.
Contexte de travail
Le projet s'inscrit dans un consortium toulousain, tripartite et pluridisciplinaire, réunissant Softmat (UMR CNRS 5623), le CHU de Toulouse et le CIRIMAT.
Le post-doctorant sera accueilli au sein de Softmat, et travaillera en collaboration avec une doctorante déjà recrutée, avec le soutien d'une technicienne en biologie, sous la supervision de L. Gibot (chargée de recherche CNRS).
Le contrat pourra débuter entre janvier et mars 2026, en fonction des disponibilités du candidat.
Le projet s'inscrit dans un consortium toulousain, tripartite et pluridisciplinaire, réunissant Softmat (UMR CNRS 5623), le CHU de Toulouse et le CIRIMAT.
Le post-doctorant sera accueilli au sein de Softmat, et travaillera en collaboration avec une doctorante déjà recrutée, avec le soutien d'une technicienne en biologie, sous la supervision de L. Gibot (chargée de recherche CNRS).
Le contrat pourra débuter entre janvier et mars 2026, en fonction des disponibilités du candidat.
Contraintes et risques
Néant.
Néant.
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